Malgré les tentatives de l’administration Trump et des gouvernements du monde entier, un rapport se voulant scientifique publié par plusieurs agences fédérales américaines suscite beaucoup l’attention. Ce rapport présente une image sombre de l’avenir des conditions sanitaires, économiques et environnementales sans action significative sur un possible réchauffement planétaire.
Ces nouvelles corroborent les preuves se voulant scientifiques et irréfutables présentées récemment par le groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC), selon lesquelles la planète subirait des dommages environnementaux sans précédent causés par l’homme. Au cours des douze prochaines années, en l’absence de mesures drastiques, la planète pourrait faire face à une accélération alarmante des impacts du changement climatique, notamment l’extinction de plusieurs espèces végétales et animales, l’augmentation des phénomènes météorologiques extrêmes et le risque accru de sécheresse.
Une situation très alarmante ?
L’Unicef a également récemment désigné le changement climatique comme la plus grande menace à laquelle pourraient être confrontés les jeunes enfants dans le monde. Il est clair que l’avenir des jeunes enfants est de plus en plus précaire face aux effets actuels et futurs du changement climatique.
Voici une vidéo montrant les effets d’un réchauffement planétaire :
Compte tenu de cela, nous devrions être particulièrement troublés par le vaste fossé qui sépare les défis environnementaux actuels et la manière dont le changement climatique est enseigné aux étudiants.
Encourager les enfants à aimer la nature
La notion selon laquelle les enfants doivent être restitués à la nature conforte une vision eurocentrique de la nature.
On fait partie de relations interdépendantes complexes avec la nature. Ces relations incluent les natures urbaines dégradées sur le plan écologique dans lesquelles vivent déjà la plupart des enfants, contrairement aux manières idéalisées dont les enfants et la nature sont souvent représentés.