La plupart des étudiants écriront leurs premiers essais dans un style à quatre carrés avec rien d’autre que leur esprit créatif, un crayon et une gomme parfumée en forme de beignet déformé, ou l’une de ces gommes denses et encombrantes qui disent : « pour les grosses erreurs ! » dans un texte menaçant.
Quel que soit l’équipement, la partie la plus excitante de ces essais argumentatifs de troisième année est la liberté créative donnée aux étudiants, interdite par la seule règle de rester à l’intérieur de la marge. Il n’y a pas de format MLA ou APA, ni aucun autre format d’écriture, planant au-dessus de leurs épaules, et il n’y a pas non plus de menace d’un tiret crochet manquant dans la page citée de leurs œuvres parce que les idées sur leurs papiers sont des idées qui leur sont propres.
Une occasion de s’exprimer
Les jeunes étudiants sont libres d’exprimer leurs pensées brutes entre les mots premier, milieu et dernier, mais au fil des années, les enfants commencent à apprendre les dures réalités de l’écriture. Le mot thèse sifflé dans leurs oreilles, associé à la liste de règles pour un format MLA approprié, a tendance à freiner la liberté de création d’un enfant.
Ci-dessous des conseils utiles à considérer :
Fini le temps de mentionner leur chat décédé dans le deuxième paragraphe de leur essai sur l’été. Fini le temps des divagations sur les choses remarquables qu’ils feraient s’ils devenaient président. Au lieu de cela, ils sont obligés de suivre une liste spécifique de règles qui interdisent à la personnalité d’un individu de fouiller dans les mots.
Écrire est ennuyeux
h bien, ça peut l’être. Il n’y a rien d’amusant à brouiller pour entasser seulement vingt mots de plus dans les paragraphes du corps, en vérifiant le nombre de mots à chaque fois qu’une phrase est reformulée. Qu’est-ce qui fait ou défait souvent un essai, qu’il s’agisse d’un essai descriptif, argumentatif ou d’analyse visuelle… est le sujet, mais c’est délicat.
La plupart des sujets ont une bonne réponse, qu’ils l’admettent ou non. Un essai sur l’ACT peut vous demander si vous pensez que le collège en vaut la peine ou non, mais si vous choisissez ce dernier, vous risquez de ne pas réussir dans la partie rédaction, malgré vos éléments de preuve. Un sujet sans issue avec peu de choses à écrire peut laisser un étudiant cracher des phrases juste pour répondre à l’exigence.