Chaque site Web sur Internet nécessite de l’énergie, et dans un système économique mondial qui est principalement tributaire des combustibles fossiles, cela signifie plus de pollution. Même les activités Internet les plus élémentaires entraînent des coûts époustouflants. D’ailleurs, diffuser une vidéo d’une heure de Netflix par semaine nécessite plus d’électricité, chaque année, que la production annuelle de deux nouveaux réfrigérateurs.
L’une des raisons pour lesquelles la consommation d’énergie d’Internet ne cesse d’augmenter est que nous sommes toujours en ligne, et du moment où nous nous réveillons jusqu’au moment où nous nous endormons, nous sommes connectés.
L’avenir d’Internet
La manière dont Internet s’adapte aux pressions de la crise climatique changera la vie quotidienne telle qu’on la connait, du trading à grande vitesse à la publication d’informations, du courrier électronique au contrôle des avions. C’est une question ouverte de savoir si l’Internet du futur sera aussi fiable qu’aujourd’hui.
Ci-dessous relatant ces faits :
https://www.youtube.com/watch?v=d9pNduQedZk
En fait, il est possible que l’accès à Internet fera partie des nombreuses ressources rares sur lesquelles les générations futures se battront et que cette répartition inégale pourrait créer deux internets diffrents : un pour les pauvres et un autre pour les riches.
Internet lié aux horreurs à venir
C’est à la fois une force majeure derrière cette crise et l’une de ses victimes probables. Il s’agit de la plus grande machine à charbon de la planète, représentant 10 % de la demande d’électricité. Et l’impact climatique d’Internet ne fera que s’aggraver : près de la moitié du monde n’a pas encore ouvert de session.
La réduction de la demande mondiale d’électricité par Internet atteindra probablement 20 % ou plus d’ici 2030, date à laquelle elle produira plus de carbone que n’importe quel pays sauf la Chine, l’Inde et les États-Unis. Alors que le monde se réchauffe, que les forêts brûlent et que les villes inondent, nos appareils commencent également à tomber en panne.