En août dernier, Olafur Eliasson, artiste de renommée mondiale, a organisé une grande exposition d’art intitulée « L’ouverture indescriptible des choses » au Red Brick Art Museum de Pékin. Ce n’était pas juste une exposition d’art ordinaire. En effet, la capitale chinoise avait été le témoin de quelque chose de phénoménal.
Eliasson, qui est surtout connu pour ses installations à grande échelle utilisant des matériaux élémentaires tels que la lumière, l’eau et l’air, a été rejoint par des danseurs de la compagnie de danse moderne et contemporaine de Pékin. Le spectacle de danse a été mis en scène dans quatre des grandes installations d’Eliasson.
La culture orientale et occidentale à l’honneur
Le mélange électrisant de cultures orientales et occidentales a ravi la ville de Pékin. L’événement est largement considéré comme l’un des plus grands festivals d’art en Chine en 2018. Gao Yanjinzi, directrice artistique de la compagnie de danse moderne et contemporaine de Pékin, a été la force motrice de cette fusion fascinante des arts modernes.
Voici les échanges avec cette danseuse en anglais :
Née dans une famille de danseurs traditionnels de la province du Guizhou, au sud-ouest de la Chine, Gao a déclaré que la danse avait toujours fait partie intégrante de sa vie. Elle est devenue une danseuse bien avant ses 17 ans.
Une danseuse expérimentée
Gao a obtenu son diplôme du département de danse contemporaine de l’Académie de Pékin en 1995 et a rejoint la compagnie à la fin de la même année. Gao tire son inspiration artistique non seulement de ses profondes compétences en danse traditionnelle et moderne, mais également de sa philosophie.
Chaque performance émet des énergies mystérieuses et chaque rotation brise les frontières des traditions, des cultures et des origines. Le style de danse et la chorégraphie de Gao ont attiré l’attention internationale, suscitant des applaudissements pour avoir intégré de puissants éléments orientaux.