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Selon la la Fédération nationale des collèges de gynécologie médicale, 10 % des femmes utiliseraient des méthodes naturelles pour ne pas concevoir lors de leurs rapports sexuels. Cependant, toujours d’après cette fédération, ces méthodes resteraient hasardeuses.

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Quelles sont les différentes méthodes naturelles ?

Il existe plusieurs méthodes permettant de se passer de gynécologue, de pilule contraceptive, de stérilet, d’implant ou de préservatif :

  • la méthode du calendrier : le fait d’éviter la période supposée de l’ovulation (entre le 12e et le 16e jour du cycle, mais le résultat peut varier selon les personnes) ;
  • la méthode du retrait : l’homme se retire avant d’éjaculer ;
  • la méthode des températures : la température a tendance à varier (légèrement descendre au moment de l’ovulation) et les couples s’appuient sur ces variations pour « organiser » nos rapports ;
  • une combinaison de plusieurs indicateurs, tout en utilisant la texture des glaires ou l’analyse des hormones présentes dans les urines.

Ces méthodes augmenteraient-elle les risques de grossesse non désirée ?

Pour de nombreux gynécologues, les méthodes naturelles constitueraient un véritable retour en arrière. En effet, il semblerait que leur taux d’échec se situerait entre 17 et 20 %, mais en y comprenant l’ensemble des méthodes mentionnées ci-dessus, alors qu’elles sont loin de toutes se valoir. À titre de comparaison, le taux d’échec d’un stérilet de cuivre n’est que de 1 %, tandis que le taux d’efficacité de la pilule atteindrait les 99,7 % en cas de prise dite « normale » (sans oubli, ni retard de plus de 12 ou 3 heures, selon la composition). Mais reste la question des possibles effets secondaires qui font peur à de plus en plus de femmes…

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