Les joueurs sont un groupe superstitieux, et il n’est pas surprenant qu’ils testent toutes sortes de croyances inhabituelles s’ils pensent que la chance sera de leur côté.
Que vous soyez vous-même un fan du jeu ou que vous soyez simplement intéressé par les superstitions et leur influence sur différents domaines de la société, ce regard sur les différentes convictions que les joueurs ont eues à travers l’histoire sera une lecture divertissante.
Les divinités porte-bonheur
À bien des égards, la vie est un pari, et les civilisations anciennes étaient plus conscientes des risques inhérents à sortir chaque jour que ceux d’entre nous qui ont le privilège de vivre à l’âge avancé du 21e siècle.
Ci-dessous une vidéo relatant ces faits :
Pour cette raison, de nombreuses religions primitives avaient des divinités dédiées spécifiquement au jeu, ou du moins avaient des dieux qui couvraient les résultats des paris dans leur mandat plus large vis-à-vis de leurs adeptes.
Dans la Grèce antique, par exemple, c’était le métier d’Hermès de surveiller les joueurs et d’intervenir dans les paris qu’ils faisaient, en bien ou en mal. Vous pouvez en savoir plus sur le dieu grec de la chance, ainsi que son équivalent dans les civilisations romaine, égyptienne, aztèque et hindoue du passé, et peut-être utiliser cette connaissance pour choisir votre propre divinité porte-bonheur.
Compter de l’argent
Que vous jouiez à un jeu de table où des jetons de casino sont utilisés, ou que vous vous livriez à une soirée casino avec des amis où la monnaie standard est utilisée, sachez que c’est à la fois de mauvaises manières et de malchance de compter ostensiblement combien l’argent dont vous disposez.
Évidemment, vous devrez compter des jetons ou des pièces pour placer un pari, il n’y a donc aucun problème à le faire ; c’est juste que rester assis là et apparemment se délecter de vos gains pourrait être un geste orgueilleux, du point de vue de la chance, ainsi qu’un geste qui ennuiera simplement quiconque se trouve à proximité. En tant que tel, il vaut mieux l’éviter, que vous croyiez ou non au malheur qui lui est attribué par certaines personnes.
